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Cercle Jean Moulin ®

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Co-Président d'Honneur Daniel Cordier, Secrétaire Particulier de Jean Moulin, Hubert Faure, membre des 177 du Commando Kieffer, membre d'Honneur Suzanne Escoffier, petite cousine et filleule de Jean Moulin Association Mémorielle Patriotique et Républicaine. cercle.jean.moulin71@sfr.fr 07 81 34 85 48


11 juin 1943 : la reddition de Pantelleria, Centenaire de 14-18 : Reims sur le front, Chemin de douleur à Oradour-sur-Glane, Une plaque en mémoire de l’Ardennais Marcel Degliame,

Publié par cercle Jean Moulin sur 11 Juin 2013, 20:15pm

Catégories : #Mémoire de La Résistance et de la Déportation, #ça c'est passé un ..., #Hervé Chabaud

11 juin 1943 : la reddition de Pantelleria

10 juin 2013

L’opération Corkscrew dont l’objectif est la neutralisation des postes d’observation et d’écoute, des pistes aériennes et des points lourds de défense des quatre îles italiennes du détroit de Sicile que sont Lampedusa, Pantelleria, Lampione et Linosa, commence à produire ses effets puisque la garnison qui stationne sur l’île de Pantelleria capitule le 11 juin 1943, ce qui permet à la 1re division anglaise de prendre pied sur cette terre stratégique.
Les positions des troupes de Mussolini sont considérées par l’état-major allié comme de réelles menaces pour la sécurité des opérations destinées au débarquement en Sicile, programmé pour début Juillet. L’opération permet aussi aux Alliés de juger de l’effet des puissants bombardements préparatoires sur des positions fortifiées et bien identifiées.
Depuis le 8 mai 1943 ce sont plus de

http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/2013/06/10/11-juin-1943-la-reddition-de-pantelleria/

 

Chemin de douleur à Oradour-sur-Glane

10 juin 2013

De nombreuses personnalités venues de plusieurs régions de France, se sont retrouvées ce lundi 10 juin 2013 autour du ministre délégué auprès du ministre de la Défense, Kader Arif pour le 69e anniversaire de la tragédie d’Oradour-sur-Glane où les SS de la division Das Reich ont massacré 642 civils. “Nous allons encore une fois parcourir ce chemin de douleur, en traversant ces ruines où rien ne bouge, où le temps s’est arrêté dans le silence des êtres et des choses” a expliqué le maire. Avant de conclure sa brève allocution par ces mots: “La cendre et les pierres disent mieux que les livres, les blessures infligées, les murs calcinés, les maisons éventrées qu’il nous faut conserver, disent mieux que les mots les souffrances endurées. »
L’émotion était intense dans la foule rassemblée pour ce temps mémoriel. Robert Hébras, survivant de cette tragédie inouïe a encore reconnu: “69 ans après le drame, je suis toujours mal à l’aise. Cette période de juin est difficile à traverser pour moi. Je me souviens de tout, je n’ai rien oublié. Ce massacre monte en moi à chaque fois et je revis sans cesse ce jour. Je ne veux pas que l’on oublie. »
Le ministre Kader Arif a insisté sur la dimension de ce drame dont la commémoration est une épreuve tant l’horreur est toujours présente dans ce bourg martyre: « le 10 juin 1944, Ora

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Centenaire de 14-18 : Reims sur le front

11 juin 2013

 
La Maire de Reims et Présidente de Reims Métropole, Adeline Hazan a présenté le lundi 10 juin en présence de Joseph Zimet, directeur de la mission du centenaire auprès du ministre délégué auprès du ministre de la Défense, chargé des anciens combattants, Kader Arif, de l’historien et doyen de la faculté des lettres de l’université de Reims Champagne-Ardenne, les temps forts du programme des commémorations de la Grande Guerre à Reims qui, pendant quatre ans a été une ville du front soumise à des bombardements intensifs et destructeurs après avoir été brièvement occupée par les troupes allemandes en septembre 1914. Personne n’a oublié l’incendie gigantesque de la cathédrale Notre-Dame, identifié à un acte de barbarie de l’ennemi et dont le retentissement dans la presse mondiale est avéré. Entre le travail d’histoire, le devoir de mémoire, l’ambition culturelle et touristique que doit avoir une grande ville, et le devoir d’avenir, l’entrée dans cette séquence mémorielle intense est fixée dès le mois d’octobre 2013.
 Cela commencera par la publication d’un livre sur la période 1914-1962 (de la Grande Guerre à la poignée de main de Konrad Adenauer et Charles de Gaulle à Reims en 1962, en passant par la signature de la reddition sans conditions des armées nazies le 7 mai 1945, au collège moderne et technique devenu le lycée Franklin-Roosevelt), le lancement d’un cycle de conférences mensuelles sur les événements significatifs de la Première Guerre mondiale et leurs conséquences sur l’évolution de la société de ce temps-là. Ces rendez-vous seront rythmés jusqu’en 1918 et donneront une place à des thématiques très grand public, comme l’évocation de la Grande Guerre dans la bande dessinée ou dans la musique rock.
  Entre le 7 et le 11 novembre, Reims organisera l’inauguration de la réplique du Monument aux Héros de l’Armée Noire, oeuvre qui fut inaugurée en 1924, puis détruite au début de l’Occupation par les Allemands pour en récupérer le métal afin de forger des nouvelles armes. Il ét

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Une plaque en mémoire de l’Ardennais Marcel Degliame

Grand résistant, compagnon de la Libération, l’Ardennais Marcel Degliame va être honoré dans son département puisqu’une plaque va être apposée au cours d’une cérémonie solennelle le samedi 22 juin à 11 heures, sur sa maison natale de La Cassine, hameau de la commune de Vendresse. Il a également été l’auteur chez Robert Laffont avec Henri Noguérès d’une histoire de la Résistance en France en cinq volumes.
Marcel Degliame naît le 23 décembre 1912. Son père est bûcheron. Sa mère est couturière.
Il comme à travailler dans l’Aube comme ouvrier bonnetier à Troyes puis à Paris. Il entre dès qu’il est jeune travailleur dans le syndicalisme et son dynamisme tout comme son esprit revendicatif font qu’il accède à des responsabilités importantes à la Fédération nationale des ouvriers du textile.
Il prend sa carte au Parti communiste en 1928. Il est appréhendé et emprisonné en 1938 pour avoir organisé des grèves. Mobilisé en septembre 1939, il est fait prisonnier par les Allemands le 18 juin 1940 à Fougerolles en Haute-Saône. Dès le premier jour, il ne pense qu’à une seule chose s’évader mais les choses ne sont pas si simple aussi est-il interné en Allemagne. En septembre 1940 sa première tentative est un échec puisqu’il est repris au bout de quelques jours. Il est alors enfermé en Europe centrale au Stalag IV C mais ne se décourage pas. Il s’en évade en mars 1941 et après un long périple avec sept de ses camarades ayant tenté l’aventure avec lui, il entre en Syrie, après avoir traversé la Tchécoslovaquie, la Hongrie, la Roumanie, et la Turquie.
D’abord incorporé dans l’armée

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